• Ce sujet contient 6 réponses, 3 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par fine, le il y a 13 années.
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  • #3672
    fine
    Participant

    je ne suis pas une experte et j’avoue que je fais confiance aux vetos (pas toujours sans craintes vu ce qu’on vit avec les rongeurs et les vetos qui ne pense qu’a s’en mettre plein les poches)

    j’aimerais avoir plus d’infos sur les maladies et vaccins des chats aupres d’experts 🙂
    je pense que je ne serais pas le seule interressée par vos reponses et peut etre qu’avec tout ça on pourrait faire des fiches « educatives » 🙂
    donc peut on faire sur ce post un recapitulatif de tout ce qu’il faut faire? 🙂

    donc j’aimerais savoir contre quoi exactement il faut vacciner les chats qui restent en interieurs et ceux qui sortent

    fiv et felv quelle est la diff 🙂

    quels sont les risques des chats testé fiv+ :
    – si je prend le cas de rozzo, est il contagieux aux autres chat?
    – si un chat de mon quartier et fv + peut il le passer a mes loulou?

    vermifuge
    la veto m’a dit tous les 3/4 mois quand il y a des enfants tout les 6 mois sinon, qu’est ce qui est le mieux? perso je me dis que vu tout ce qu’il y a a chasser chez moi et que je n’arrive pas a sauvé des griffes de ces chasseurs de matous (souris, oiseau) peut etre rester toujours sur du 3/4 mois

    frontline ou strongolh?
    perso jusqu’a maintenant j’utilisait du frontline (car il y a quelques tiques dans le jardin) mais ça ne traite pas les gales d’oreilles…

    les gales d’oreilles, quels sont les symptomes?

    #3673
    Maréchal
    Participant

    y a du boulot 😛
    je commence avec ce que je sais … pas grand chose mais d’autres viendront compléter
    les vaccins c’est un cocktail : tcl
    T = typhus : virus de l’ordre des parvo donc gastro virulente , mortel pour les chatons , très grave pour les adultes , pas d’antidote
    C = coryza : plusieurs facteurs et virus , c’est style gros rhume : conjonctivite , toux , lésions des muqueuses de la bouche , les séquelles sont graves ( le pus ronge les tissus ), le chat reste porteur
    L = c’est la leucose le FelV , immunodépression lente + tumeurs

    ensuite vient le CL dans le cocktail de la piquouze c’est la chlamydiose ( bactérie ) conjonctivite rhinite évoluant vers la pneumonie parfois la mort

    on peut y ajouter la rage , surtout si votre chat passe avec vous ses vacances dans un camping , si vous le mettez en pension et si vous voyagez hors Europe

    faut il vacciner un chat qui ne sort pas ? je dirais oui parce que nous entrainons des virus a nos semelles ect , puces et autres sont des vecteurs de maladies
    surtout bien faire vacciner un animal agé même si celui ci reste a l’intérieur et passe son temps a dormir car plus agé = moins de défenses immu donc il faut le proteger encore +

    différences entre FiV et FelV
    se sont deux virus différents mais dont les symptomes sont souvent identiques , chacun attaquant le système immunitaire l’évolution est différente
    le chat peut être porteur du virus et rester de longues années en très bonne santé voire décéder d’autre chose mais il faut le savoir pour intervenir symptomatiquement sur les maladies annexes
    puisque le système immu est déficiant le chat est plus fragile et il faut surveiller l’évolution entre autres les tumeurs provoquée par la leucose ( felv ) , cicatrisation plus délicate , ulcère de la bouche …
    le vaccin contre le fiv est encore incomplet et n’existe pas en Europe

    la transmission est sujette a caution
    – par le sang c’est certain : accouplement (qui chez le chat est très violent) bagarres entre mâles mais aussi femelles infectées en défendant ses bébés , gestations …

    pour la leucose le virus est actif dans tout les liquides corporel et donc dans la salive par contre le fiv on trouve des traces de virus dans la salive et les selles des animaux porteurs mais il est difficile de dire si oui ou non le virus se transmet de cette façon car il meurt a l’air libre , on a vu des chats dont l’un est porteur et l’autre non vivre ensemble sans se contaminer l’un l’autre donc les véto revoient souvent leurs jugement au sujet de la contamination salive et litière

    le risque zéro n’existe pas mais en règle général avec des chats stérilisés on prend moins de risque puisqu’ils ne se battent plus « au sang » qu’ils ne s’accouplent plus et que les mères ne portent plus , donc si tes loulous croisent des gros matoux porteurs et bagareurs ils vont s’éffacer et donc ne seront pas contaminés

    j’en profite pour dire que l’accouplement ( même désiré , en élevage par exemple ) est un acte violent qui s’apparente au viol , la femelle est mordue au cou et ainsi immobilisée , le mâle lui laboure le dos avec ses pattes arrières , le pénis est « garnis » ( si on peut dire ) d’épines qui blessent la vulve dans le but d’empêcher que la chatte aie d’autre rapport avec d’autres mâles , les cris et grognements ne s’apparente en rien a quelques plaisirs que prendraient les chats

    vermifuges , pour des chats ( et chiens ) qui sortent peu 6 mois et pour ceux qui sont souvent en contact avec l’extérieur 4 mois c’est mieux et toujours vermifuger quelques jours avant le vaccins
    par contre attention aux jeunes enfants qui seraient en contact avec des animaux il faut vermifuger les enfants ( avec un produit pour humain !!!! ) médecins ou pédiatres vous conseillerons

    gales des oreilles : le liquide brun rouge dans l’oreille est caractéristique

    Christine , tu cautionnes ? 😆

    #3707
    capel
    Participant

    ben… on va dire oui. 😉

    en fait, des avis veto differents font que… il faut s’en tenir à ça

    les dernières etudes sur fiv et felv semblent sire que la salive n’est pas porteuse, pas contagieuse en tout cas, ni les urines, ni… c’est le sang avant tout… et contact de sang à sang essentiellement donc rare sauf pendant le « viol »

    et une maladie de plus en plus courante: l’hemobarthonelose transmise par puces et tiques (ou de mère à chaton)… donc traitez vos chats. ce parasite mange les globules rouges provoquant anemies et arret cardiaque. ça se soigne mais il faut voir les signes… j’ai failli perdre mon uchisar quand il etait jeune. il s’est apparemment negativé mais je surveille les coups de pompe sans cesse

    attention, on parle de plus en plus de la toxicité des pipettes anti puce… alors on fait quoi? je ne sais pas. extrait de lavande? je n’en connais pas la toxicité… le collier anti puce surtout pas, ils s’etranglent avec…

    la plus frequente maladie du chat, l’insuffisance renale. ne donnez pas d’aliment trop salé, pas trop de sels mineraux provoquant des cristaux… donc de bonnes croquettes si possibles achetées chez votre veto, peu importe la marque qu’il vend. surveillez sa boisson et ses urines. s’il boit trop, aie! si petits pipis tout le temps, aie!

    l’obesité tue aussi. encore plus que chez nous. ça provoque la lipidose hepatique…

    #3708
    capel
    Participant

    ah, j’avais pas tout vu…

    la gale, regardes tonga. tu prend un coton tige et tu gratte dans son conduit auditif (très profond chez le chat) . si revient noir, c’est ça, enfin souvent ça.

    si tiques et gale, utilise frontline ou advantage plus efficace et rajoute de la pommade dans les oreilles pour la gale: il en existe une nouvelle super efficace sont j’ai oublié le nom.

    les vers, ils peuvent eviter d’en prendre autant… idem question toxicité… les vermifuges pour tes gamins et toi existent. une fois par an, quelques comprimés et zou, tranquillou. ça etonne les gens quand je dis que je me vermifuge… ben c’est maman qui m’a eduquée à ça 😆

    #3738
    Maréchal
    Participant

    [quote= »christine capel » post=439]
    attention, on parle de plus en plus de la toxicité des pipettes anti puce… alors on fait quoi? je ne sais pas. extrait de lavande? je n’en connais pas la toxicité… le collier anti puce surtout pas, ils s’etranglent avec…

    [/quote]

    je vous renvois a notre super véto le docteur fourrure : http://www.boulesdefourrure.fr
    qui dit ceci :

    mardi 20 septembre 2011 – Toxicité des pyréthrinoïdes chez le chat
    Par Fourrure
    Comme régulièrement, je lis sur le net un post ou un billet rapportant une intoxication à la perméthrine chez un chat. Les commentaires sous cet article alternent le pire comme le meilleur, entre indignation sincère mais sans recul, et informations pertinentes et foireuses (et qui a pris garde à la réponse d’un membre de la société commercialisant ce produit, au fait ?). Je vais donc me fendre d’un billet, histoire de casser une ou deux idées reçues, et confirmer ou infirmer certaines affirmations.

    Les pyréthrinoïdes sont nos amis

    Les pyréthrinoïdes sont une famille d’insecticides dérivés des pyrèthres, des insecticides végétaux utilisés depuis des millénaires et issus du chrysanthème (on dirait une intro de dissert’, non ?). Les plus anciens sont, par exemples, l’alléthrine et la phénothrine : c’est facile, les scientifiques leur ont collé un suffixe en -thrine, si vous regardez les étiquettes des produits que vous avez à la maison. On peut citer, par ordre d’apparition et pour aider Google à trouver ce billet : la perméthrine, la cyperméthrine, la deltaméthrine et le fenvalérate (oui des fois les scientifiques, ou en tout cas ceux qui donnent leur nom aux molécules, se lassent d’une bonne idée).

    Peu ou pas utilisées au début du vingtième siècle, ces molécules sont revenues en grâce parce qu’elles sont rapidement dégradées dans l’environnement, et donc peu polluantes (ce qui ne veut pas dire pas polluantes, mais à côté du DDT ou du lindane, c’est de la rigolade). Si vous deviez faire un bain de pyréthrinoïdes à votre chien pour le débarrasser de ses aoûtats, laissez l’eau dans la bassine en plein soleil, la molécule sera rapidement dégradée. Ne balancez pas le produit non dégradé dans vos massifs de fleurs (ouille les abeilles et les autres) ou dans la mare d’en bas (boum les notonectes, et aussi les poissons, d’ailleurs, j’y reviendrai). Et non, en mettre sur votre chien n’est pas dangereux pour l’environnement, d’autant que les abeilles ne butinent pas ses cages à miel.

    Ces molécules sont des neurotoxiques, chez les insectes comme chez les mammifères. Pourtant, on les utilise largement pour traiter, d’une part l’environnement domestique (lutte contre les puces essentiellement) et les animaux eux-mêmes. Mais pas tous, et pas n’importe comment !

    Chez le mammifère, le produit est appliqué sur la peau, via shampooings, sprays et spot-on.
    Il diffuse très lentement vers le sang : la dose reçue par l’organisme à un instant donné est donc très faible.
    La destruction, puis l’élimination des pyréthrinoïdes (notamment par le foie, mais aussi dans la peau et le sang) est par contre très rapide : il n’y a donc pas de stockage significatif (dans le cadre d’une dose normale !) dans le corps, et notamment là où c’est dangereux : le système nerveux.
    Si l’animal lèche le produit qui lui a été mis sur la peau, pas de panique : l’absorption digestive est faible, et le produit qui passe dans les veines mésentériques est détruit dans le foie. La toxicité digestive, par irritation, est liée aux excipients (les produits qui servent à aider les pyréthrinoïdes à rentrer dans la peau), et elle est de toute façon très modérée avec les produits destinés aux animaux de compagnie.
    La tolérance est donc très élevée chez les mammifères. Pas de risque, donc, d’intoxiquer votre chien, votre cheval ou votre vache, ou vous-même, en lui en appliquant sur la peau, ou même si, en se léchant, votre animal avale tout ou partie de sa dose.

    Pas de risque non plus de surdosage, à moins de faire vraiment n’importe quoi (le flacon entier de produit pour vache sur le caniche, ça finira mal, oui).

    D’ailleurs, d’une manière générale, lisez attentivement la notice des antiparasitaires que vous achetez, et respectez les indications qui s’y trouvent. On vous dira de respecter le dose, de ne pas l’utiliser sur des femelles en gestation, sur de très jeunes chiots (< 6 semaines)... Les pyréthrinoïdes et les chats : l'arme fatale du CCC En ce qui concerne les chats : ces animaux ont un sévère défaut en une enzyme de détoxification banale (chez les autres mammifères), la glucuronyltransférase. Son boulot est de coller sur des produits toxiques un espèce de tag qui dégrade la molécule et la destine aux ordures. Je le redis en français : un toxique arrive dans le foie, les cellules du foie le prennent en charge, le reconnaissent pour "étranger et indésirable", essaient de le couper en petits bouts et lui collent sur la tronche une étiquette sucrée qui abîme le produit toxique et le fiche à la poubelle. Sauf que chez le chat ce processus d'étiquetage ne fonctionne pas du tout. C'est valable pour les pyréthrinoïdes, mais aussi pour nombres d'autres molécules "étrangères" au chat, comme le paracétamol (je ferai un billet sur le sujet, promis) ou nombres d'huiles essentielles. Et pour ceux qui se posent la question : oui, je simplifie l'extrême complexité du métabolisme hépatique, si vous voulez aller plus loin je vous conseille un bouquin de toxicologie et de physiologie hépatique. La perméthrine et ses copains sont donc hautement toxiques pour les chats ! Les symptômes les plus souvent décrits chez les chats sont des tremblements musculaires, une myoclonie, de l'hyperesthésie, des convulsions, de l'hyperthermie, de l'hypersalivation, de l'ataxie, une mydriase voire une cécité temporaire (par ordre décroissant de fréquence). Ils commencent à apparaître dans les 1-40h suivant l'application d'un spray ou spot-on (médiane 8 heures). La bonne nouvelle, c'est que ces symptômes sont réversibles. La mauvaise, c'est que le chat risque de mourir, le temps qu'ils disparaissent. Le boulot du vétérinaire est donc essentiellement de maintenir le chat en vie et de gérer les complications. Si vous avez du temps à perdre avant d'amener votre chat empoisonné à votre véto (mauvaise idée, mais supposons que vous attendez un taxi, ou que la route sera très longue), lavez votre chat à l'eau tiède (pas chaude, pas froide !) avec du savon s'il a le produit sur la peau. Vous pouvez traiter l'environnement (la maison) avec ces molécules, même si vous avez des chats, mais pas en leur présence. Ne les laissez pas rentrer avant d'avoir bien aéré. Choisissez une formulation en diffuseur, qui ne risquera pas de laisser des dépôts comme un produit à diluer dans un seau et à passer sur le sol, par exemple. Vous mettez le diffuseur en action, vous partez, vous revenez trois heures plus tard, vous ouvrez tout en grand, et quand c'est bien aéré, vous laissez les chats rentrer. Si vous mettez sur votre chien un spot-on à base de pyréthrinoïdes, et qu'il est très proche de votre chat, séparez les, histoire que le chat ne s'allonge pas sur son dos et ne se prenne pas le produit. Attention : ces produits sont très toxiques pour les poissons (et les batraciens). Évitez d'utiliser les diffuseurs pour l'habitat si vous avez un aquarium ! Les oiseaux y sont par contre très résistants. En passant, parlons "chimique" vs "naturel" Alors vous allez sans doute vous dire : "bon, ok, il dit que c'est pas dangereux si c'est bien utilisé, mais dans le doute, je voudrais un truc plus naturel". Déjà, n'oubliez pas que les produits naturels sont tout aussi chimiques que les produits artificiels, cette distinction ne veut rien dire. On peut parler de degré de purification, de complexité, de potentialisation ou de tout un tas de truc, mais si c'est actif, c'est grâce à la chimie. Et l'homme n'a pas plus inventé la chimie que l'électricité. Les pyrèthres sont chimiques et naturels, comme l'azadirachtine de l'huile de neem, le curare ou la digitaline. Efficaces et dangereux. Vous lirez sans doute, au détour du net, un article ou un post sur un forum conseillant l'utilisation d'huiles essentielles, comme celle de Tea-Tree. Encore une fois, prenez garde aux huiles essentielles ! Ce n'est pas parce que quelque chose est naturel que ce quelque chose est bon, ou meilleur qu'un produit de synthèse, que ce soit en termes d'efficacité, ou d’innocuité. Tout le monde sait qu'il y a plein de plantes toxiques, que la dose fait le poison, etc... Ben c'est pareil pour les huiles essentielles. Dans le doute, abstenez-vous, et n'oubliez jamais que les chats sont particulièrement sensibles à tout un tas de produits inoffensifs pour d'autres mammifères (et maintenant vous savez même pourquoi). Alors, oui, je sais qu'on va encore me dire que l'aromathérapie, c'est super, etc. Bon, soyons clairs : je n'y connais rien. Je sais que les huiles essentielles sont pleines de molécules chimiques très actives, et qui peuvent être très efficaces, donc non, a priori, je n'ai rien contre les huiles essentielles. Par contre, qui a sérieusement (je veux dire, vraiment sérieusement, pas juste lu trois bouquins !) étudié le sujet ? Qui peut me donner le titre d'un livre plein de références sérieuses, de publications scientifiques, en double aveugle et tout le reste ? Sans ce type d'études fiables, on en reste à une méthode d'essais-erreurs sur des cas individuels, d'approximations et d'application de recettes dont personne ne connaît la source. Et avec ce genre de méthodes, je continuerai à voir des chats intoxiqués aux huiles essentielles, et des peaux de chiens cramées par des shampooings en contenant. Non, pas à chaque fois, pas dans tout les cas, les pures sont dangereuses, les diluées moins, ok, dans quelle mesure ? Quelle est la marge de sécurité pour la propriétaire d'un chat qui veut bien faire et utiliser des produits naturels pour ses animaux ? Et vous rendez-vous compte de votre responsabilité quand vous propagez ce genre de recettes ? Notes diverses Parce que les conflits d'intérêt, c'est pas pour les chiens : Je suis vétérinaire : oui, je prescris et vends des produits à base de pyréthrinoïdes, mon billet devrait suffire à vous expliquer pourquoi. C'est pour cela que je les connais bien. Non, je ne fais pas fortune grâce à eux, et ne suis lié à aucune société en commercialisant, autrement que par ma relation de détaillant à un fournisseur. Je ne vends pas ces produits comme je vendrais des baguettes de pain : il y a des indications, des contre-indications, des usages recommandés et efficaces, d'autres qui ne le sont pas. Des alternatives, aussi. C'est mon boulot, de conseiller mes clients. N'hésitez jamais à demander conseil à votre vétérinaire ! Parce qu'avec des publications scientifiques, c'est mieux : Clinical effects and outcome of feline permethrin spot-on poisonings reported to the Veterinary Poisons Information Service (VPIS), London Feline permethrin toxicity: retrospective study of 42 cases Poisoning due to Pyrethroids Pyrethroid insecticides: poisoning syndromes, synergies, and therapy Use and abuse of pyrethrins and synthetic pyrethroids in veterinary medicine Tea-Tree : Toxicity of melaleuca oil and related essential oils applied topically on dogs and cats Australian tea tree (Melaleuca alternifolia) oil poisoning in three purebred cats (texte intégral) Mes remerciements aux twittos qui m'ont donné un coup de main pour la rédaction de ce billet, spécialement à @Emita__

    vi c’est un peu long mais ça vaut le coup , n’hésitez pas a consulter son site il fourmille d’histoire de poilus , triste ou a mourir de rire mais toujours superbement racontées , j’ouvre d’ailleurs un post dans la rubrique des liens

    #3743
    capel
    Participant

    super en effet! merci sylvie!

    #3746
    fine
    Participant

    Merci pour toutes ses infos 🙂

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